(...suite)
Singapour, c'est également le temple du shopping. Les magasins sont concentrés dans de grands (parfois immenses) centres commerciaux, ce qui paraît plutôt habituel, sauf qu'en quatre jours là-bas, j'ai bien dû en voir six ou sept. Et encore, sans aller dans le quartier d'Orchard Road, uniquement consacré au Shopping.
Mondialisation oblige, on y trouve les même marques que partout, d'où mon faible intérêt pour cette activité.
Singapour, c'est également le temple du shopping. Les magasins sont concentrés dans de grands (parfois immenses) centres commerciaux, ce qui paraît plutôt habituel, sauf qu'en quatre jours là-bas, j'ai bien dû en voir six ou sept. Et encore, sans aller dans le quartier d'Orchard Road, uniquement consacré au Shopping.
Mondialisation oblige, on y trouve les même marques que partout, d'où mon faible intérêt pour cette activité.
Elle n'est néanmoins qu'un aspect de ce qui illustre la croissance et la richesse du pays. La Skyline de Singapour se complète à vue d'oeil à coups de défis architecturaux, le tout étant multi éclairé / illuminé la nuit. Deux semaines après mon séjour, doit se tenir pour la troisième année le Grand Prix de F1 de Singapour, doublé d'un méga concert (feat. beyonce, mariah carey...). En constituant cette vitrine, le gouvernement achète de l'image, afin bien sûr d'attirer les investisseurs.
Je contemple cela du haut de ma chambre, au 42ème étage. Les étages les plus hauts sont allouées en priorité aux nouveaux clients. C'est impressionnant. Sur la baie vitrée, l'hôtel décline toute responsabilité et prévient:
"We strongly advise against leaning over the balcony ledge or undertaking any activities that may endanger your safety"
Je ne suis pas accompagné lors de ce séjour, je n'entreprendrai donc aucune activité sur ce balcon, et me contenterai d'humer l'air.
La climatisation donne une impression trompeuse, on en oublierait presque qu'on vit dans un pays chaud et humide.
Je m'attendais à supporter difficilement le climat équatorial, j'ai été positivement surpris (sans doute parce que la température diurne se contentait d'osciller entre 28/32°C, sans atteindre les 36°C).
La sensation d'être enveloppé par une sorte de moiteur serait presque agréable. Du moment qu'on ne la subit pas (càd qu'on est pas en chemise, en retard, et trimballant ses bagages).
Le footing que j'ai fait le long de la Singapore River, puis dans Fort Canning Park était très plaisant.
Si la course paraît être une activité répandue, là-bas, la sieste aussi. Dans les quartiers populaires (little India notamment), on vit dehors.
On s'allonge sur un rebord au pied d'un immeuble, ou bien sûr dans la verdure.
Même les plus petits parcs sont pourvus de grands et beaux arbres. On entend des oiseaux (sans les voir), comme dans une forêt équatoriale.
Ces oiseaux, cette humidité, cette torpeur, ces grillons...
Mes quelques promenades dans les parcs de Singapour m'ont fait réaliser que les scènes que j'avais à l'esprit d'un certain cinéma asiatique contemplatif sont moins un choix esthétique qu'un reflet de la réalité.
Ah oui, il manque une référence culturelle dans cette article...
En guise de conclusion logique, peut-être devrais-je vous dire que lors du vol de retour, j'ai regardé "Oncle Bonmee", ou quelque chose dans le style?
Et bien non, au retour, c'était..
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La climatisation donne une impression trompeuse, on en oublierait presque qu'on vit dans un pays chaud et humide.
Je m'attendais à supporter difficilement le climat équatorial, j'ai été positivement surpris (sans doute parce que la température diurne se contentait d'osciller entre 28/32°C, sans atteindre les 36°C).
La sensation d'être enveloppé par une sorte de moiteur serait presque agréable. Du moment qu'on ne la subit pas (càd qu'on est pas en chemise, en retard, et trimballant ses bagages).
Le footing que j'ai fait le long de la Singapore River, puis dans Fort Canning Park était très plaisant.
Si la course paraît être une activité répandue, là-bas, la sieste aussi. Dans les quartiers populaires (little India notamment), on vit dehors.
On s'allonge sur un rebord au pied d'un immeuble, ou bien sûr dans la verdure.
Même les plus petits parcs sont pourvus de grands et beaux arbres. On entend des oiseaux (sans les voir), comme dans une forêt équatoriale.
Ces oiseaux, cette humidité, cette torpeur, ces grillons...
Mes quelques promenades dans les parcs de Singapour m'ont fait réaliser que les scènes que j'avais à l'esprit d'un certain cinéma asiatique contemplatif sont moins un choix esthétique qu'un reflet de la réalité.
Ah oui, il manque une référence culturelle dans cette article...
En guise de conclusion logique, peut-être devrais-je vous dire que lors du vol de retour, j'ai regardé "Oncle Bonmee", ou quelque chose dans le style?
Et bien non, au retour, c'était..
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