That slope may look insignificant but it's going to be my destiny
Fitzcarraldo fait parti des grands films de Werner Herzog, d'ailleurs tourné dans des conditions des plus difficiles. A la manière d' "Aguirre", il donne à voir au spectateur des images fortes, qui resteront imprimées dans sa mémoire (J'en parlais d'ailleurs ici, citant au passage cette phrase entendue chez Jarmush : "The best films are like dreams you're never sure you've really had")
Comme me l'apprend cet article, ces images sont en réalité le point de départ du réalisateur :
Une vision s’était emparée de moi : l’image d’un grand bateau à vapeur sur une montagne […] à travers une nature qui anéantit les faibles comme les forts ; et la voix de Caruso, qui fait taire toutes les souffrances et tous les cris des animaux de la forêt vierge et arrête le chant des oiseaux »
Fitzcarraldo, Werner Herzog (1982)
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