samedi 24 juillet 2010

What Difference Does It Make? / Smiths' Cover Arts part.2

Suite de la saga estivale consacrée aux Smiths.
Nous nous étions arrêtés
la dernière fois à leur premier album, paru en 1984. Cet album inclut le morceau "What Difference Does It Make?", qui sortit ensuite en tant que single... ...Une première fois, avec en couverture une photo de l'acteur Terence Stamp prise sur le tournage de "L'obsédé" (the Collector, en VO) [1965], une deuxième fois, avec Morrissey (l'acteur n'ayant pas donné son accord pour l'utilisation de son image)



Bon, on y perd un peu au niveau du sourire de psychopathe.
Et le chloroforme s'est transformé en lait.


Le premier single hors album qui suivit, fut "Heaven Knows I'm Miserable Now" (dont le titre a d'ailleurs été inspiré du morceau "Heaven Knows I'm Missing Him Now" de Sandie Shaw, cette chanteuse des 60s dont je vous parlais déjà à propos de "Hand in Glove")

En photo sur la couverture, une certaine Vivian Nicholson, passée de l'anonymat à la célèbrité en Angleterre, la nuit où elle gagna 152 000£ grâce aux paris sportifs. Son mot d'ordre "Spend, Spend, Spend" est resté (elle a d'ailleurs fini ruinée).



Viv, qu'on retrouvera d'ailleurs à nouveau sur le single "Barbarism begins at home" (1985).



Après ce petit bond dans le temps, je reprends vite le cours des choses là où je les avais laissées. Cest-à-dire à la parution de "William, it was really nothing", reprenant, pas tout à fait légalement, le visuel d'une publicité pour des enceintes. Déformation professionnelle oblige, à la vue de cette pochette, je m'empresse d'alimenter la rubrique Crossed Covers.




Suede, Dog Man Star (Nude, 1994)
the Pains of Being Pure at Heart, Higher than the Sun (Slumberland, 2009)

Pour des raisons légales, les éditions suivantes du single ont été pressées avec une couverture alternative, feat. l'actrice Billie Whitelaw dans le film Charlie Bubbles (1967)




Je m'arrêterai ici, avec la compilation de "Hatful of Hollow", et son visuel tiré d'une édition de Libération dédiée à Jean Cocteau. Le jeune homme qu'on voit sur la photo (signée Gilles Decroix) s'était fait tatoué un dessin de l'écrivain sur l'épaule.



Pour être tout à fait complet, je signale tout de même que la photo a été utilisée dans son cadrage original sur la première édition du disque.

Nous arrivons doucement à l'album Meat is Murder.
Ce sera pour la prochaine partie de cette série, à suivre sur Arise Therefore.

2 commentaires:

  1. Dame ! Que d'information !
    Bravo :)

    RépondreSupprimer
  2. Merci.
    Ca n'est que de la recherche internet, donc le niveau 0 de la documentation ^_^

    RépondreSupprimer