Il y a deux artistes du catalogue de Fat Cat que je souhaite voir en concert tout particulièrement. Ces deux artistes sont deux pianistes d'origine allemande, Max Richter et Hauschka (tous deux d'ailleurs multidiffusés dans Top Tape).
Alors qu'ils semblaient jusqu'à présent soigneusement éviter la france, ce dimanche, l'un d'eux, Hauschka était à l'affiche du rendez-vous mensuel "Ambiant Sunday" à la gaîté lyrique.
Alors qu'ils semblaient jusqu'à présent soigneusement éviter la france, ce dimanche, l'un d'eux, Hauschka était à l'affiche du rendez-vous mensuel "Ambiant Sunday" à la gaîté lyrique.
Haushka aka Volker Bertelmann a pour particularié de customiser son piano à mesure qu'il joue. Il dispose ainsi sur les cordes Gaffer, baguettes, sac de billes, balles de ping pong, tambourins, objets métalliques parfois vibrants, et modifie ainsi les sonorités du piano, apportant résonances, percussivité ou bruits d'ambiance.
On jure qu'il y a un truc, puis non, lorsque, pour un dernier morceau, Hauschka ôte un par un tous les artifices (cf. photo ci-dessous), le piano à queue retrouve ses sonorités si pures.
Ne reste plus maintenant à Volker Bertelmann que de revenir à Paris accompagné de ses deux batteurs (l'un de calexico, l'autre de Múm), et peut-être même d'un violon et d'un violoncelle. Si c'est le cas, il me semble qu'un concert non amplifié pourrait faire merveille.
A part ça, j'ai profité de cette fête du cinéma pour voir Animal Kingdom, mais j'y reviendrai plus tard, je veux déjà finir de vous parler de Persona.
A part ça, j'ai profité de cette fête du cinéma pour voir Animal Kingdom, mais j'y reviendrai plus tard, je veux déjà finir de vous parler de Persona.
Hauschka, Salon des Amateurs (Fat Cat, 2011)
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