dimanche 18 avril 2010

No one is ever really powerless

Nous sommes en 2010, et13 ans après la sortie de "Whiplash" qui témoignait déjà d'un certain essoufflement, je continue d'écouter chacun des nouveaux disques de James, un de mes anciens groupes préférés.
Je ne m'attends pas à apprécier l'album, mais, j'espère toujours y trouver une ou deux chansons à sauver, voire un morceau extraordinaire, parce que quand même, c'est Tim Booth.
Rien de tout celà dans The Night Before.

Tant pis.
J'écoutais ça tout à l'heure dans un parc baigné dans la lumière dorée du soleil déclinant, cette lumière qui rend les gens beaux.

Celle qu'on voit par exemple sur la pochette des Strange Boys, dont la session est d'ailleurs diffusée sur Radio Campus Paris au moment où j'écris ces lignes.



Celle qui teinte pas mal d'images (photoshopées, certes) de sites de partages de photos...




(une bière au lecteur ou à la lectrice qui m'oriente vers le tutoriel adéquat)

Celle qu'on retrouve dans la dernière vidéo des Flaming Lips, powerless.
Oui, car c'est là que je voulais en venir!

Parce que les Flaming Lips, en 2010, c'est tout de même autre chose que James. Je ne sais pas si tout le monde a pris la mesure de leur album paru l'an passé, mais plus ça va, plus je pense qu'il "restera". Avec le recul, il pourrait bien intégrer dare-dare mon top30 2010, édité à la sortie de la décennie.
Ce morceau et ce clip en témoignent.


Honey, you're just paranoid
You should do what you enjoy
No one is ever really powerless
That's what she said and she gave me a kiss
No one is ever really powerless
Now I think I know what that really is

It only happens if you try
Pain and pleasure both get you high
No one is ever really powerless
That's what she said, now I can't forget
No one is ever really powerless
Now I think I know what that really is

Flaming Lips, Powerless
Embryonic (Warner Bros, 2009)

James, Night so long (Mercury, 2010)

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