Fin de cette semaine sociale, lors de laquelle Arise Therefore aura vu rouge et aura promu la Révolution.
Ici, la valeur Travail sera à nouveau remise en cause. Le court-métrage que je diffusais la semaine passée était déjà assez saisissant, voici cette fois quelque chose de plus interactif, puisqu'il s'agit d'un jeu entre guillemets.
Les guillemets, c'est parce qu'il a été créé par le collectif italien La Molleindustria, sous-titré Radical Games against the dictatorship of entertainment.
Le jeu s'appelle : "Every Day the Same Dream".
Son descriptif: "A short existential game about alienation and refusal of labour. Or, if you prefer, a playable music video".
Ici, la valeur Travail sera à nouveau remise en cause. Le court-métrage que je diffusais la semaine passée était déjà assez saisissant, voici cette fois quelque chose de plus interactif, puisqu'il s'agit d'un jeu entre guillemets.
Les guillemets, c'est parce qu'il a été créé par le collectif italien La Molleindustria, sous-titré Radical Games against the dictatorship of entertainment.
Le jeu s'appelle : "Every Day the Same Dream".
Son descriptif: "A short existential game about alienation and refusal of labour. Or, if you prefer, a playable music video".
La première fois que j'y ai joué, j'ai trouvé assez percutante l'idée d'un jeu triste, gris, linéaire, répétitif, dans lequel on "joue" à aller au travail.
Et puis on découvre des variantes.
Bonne nouvelle, on peut se foutre en l'air.
A vous de trouver toutes les fins possibles (la femme de l'ascenseur vous annonce combien d'étapes il vous reste avant d'être une nouvelle personne)
Ce jeu, le voici.
Je l'embedde dans cette page ce qui pour moi constitue une avancée technologique assez incroyable.
Pour y jouer en grand écran, c'est là.
Note: la musique est bien aussi, et finalement, l'ensemble me rappelle l'atmosphère qui se dégageait du film de Paul Durango, feat. Troy von Balthazar:
Working eats my soul.
Bande Annonce, sur ce même blog, en mars 2008.
Bonne nouvelle, on peut se foutre en l'air.
A vous de trouver toutes les fins possibles (la femme de l'ascenseur vous annonce combien d'étapes il vous reste avant d'être une nouvelle personne)
Ce jeu, le voici.
Je l'embedde dans cette page ce qui pour moi constitue une avancée technologique assez incroyable.
Pour y jouer en grand écran, c'est là.
Note: la musique est bien aussi, et finalement, l'ensemble me rappelle l'atmosphère qui se dégageait du film de Paul Durango, feat. Troy von Balthazar:
Working eats my soul.
Bande Annonce, sur ce même blog, en mars 2008.
Il a une fin ? la dame de l'ascenceur n'arrete pas de me dire "one last step" ... ?
RépondreSupprimerIl y a une fin, oui. C'est donc qu'il te manque une étape...
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