jeudi 7 avril 2011

Il ne faut pas confondre

Anna Calvi,
l'anglaise qui a sorti un album début 2011 qui fait l'unanimité_alors_que_bon...
(chez Domino)


et Anni Rossi, la chanteuse / violoniste du Minnesota
(signée sur 4AD)

Vamp ou indie girl, choisissez votre camp !
(Et choisissez votre photographe, aussi)

Le rouge à lèvre écarlate, ça fait femme, c'est aussi ce qu'a compris Alela Diane pour son prochain album. Elle devait en avoir marre de passer pour la country girl de Nevada City.



Anna Calvi, s/t (Domino, 2011)
Anni Rossi, Heavy Meadow (4AD, 2010)
Alela Diane, Wild Divine (Beggars Banquet, 2011)

2 commentaires:

  1. Je suis tout à fait d'accord sur le "alors que bon" quant à l'unanimité de Anna Calvi.

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  2. D ailleurs, c est marrant la manière dont les artistes solo féminines sont souvent mises en avant par un look/positionnement affirmé (et si possible différenciant).

    Dans la division supérieure, celle des vendeuses de disques en masse, pitchfork résumait le paysage pop ainsi, dans une chronique concernant une potentielle nouvelle entrante:

    Mainly, Jessie J seems to be surplus to demand. The contemporary pop landscape is already crowded with well-defined female pop stars-- postmodern disco artiste Lady Gaga, fierce soul goddess Beyoncé, slovenly party girl Ke$ha, cheesecake goofball Katy Perry, cyborg sexpot Britney Spears, troubled ice queen Rihanna, and perennial underdog Robyn.

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