dimanche 1 mai 2011

Dent pour dent, œil pour œil

Ici souffrit le pauvre Antoine Doinel, puni injustement par Petite Feuille pour une pin-up tombée du ciel. Entre nous ce sera dent pour dent, œil pour œil.



Les 400 coups, François Truffaut (1959)

2 commentaires:

  1. Ah, j'en ai connu, des crétins. Mais au moins ils étaient discrets. Ils se cachaient, ils restaient dans leur coin.

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  2. Au fait, j ai vu la vidéo du casting! Il est vraiment extraordinaire, ce jean-pierre...

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