samedi 1 juin 2013

Les raquettes sont aussi des instruments à cordes

La séquence Cannes - Roland Garros annonce pour beaucoup la dernière ligne droite avant l'été. Toujours en prise directe avec la réalité, Arise Therefore va parler Tennis aujourd'hui (comme quelques autrefois auparavant).

"Tennis et Musique", même. 

Commençons par de récentes références explicites : Celle des français de Papaye pour leur album Tennis, avec une pochette fort à propos.

Même cohérence visuelle pour Indian Wells et leur "tennistronic" (c'est ainsi qu'ils définissent leur style musical) hautement recommandable.
L'album est librement téléchargeable sur le bandcamp du groupe.
Ci-dessous, un extrait (Wimbledon 1980) pour sonoriser votre lecture :




Enchaînons maintenant avec une "disambiguation" de mise.
Ainsi faut-il se garder de confondre les Denverites - au look un brin rétro - de Tennis
 et les Japonais de Tennis Coats (au look... japonais)

On pourra déplorer (pour le bien de cet article) qu'aucun de ces groupes n'ait eu recours à des pochettes en rapport avec ce sport. Avouez que pour le single Marathon, on n'était pas loin
(on imagine bien un court hors champ).


Si je poursuis le fil conducteur (ténu) de cet article, il me faut désormais évoquer Housse de Racket.

A leurs débuts, tout leur univers était centré sur le tennis, pour un résultat désopilant. Le morceau "housse de racket" samplait en préambule les commentateurs sportifs Jean-Paul Loth et Michel Dhrey, assistant vraisemblablement à un échange épique.
Et l'un d'eux de conclure :

"Les raquettes sont aussi des instruments à cordes"


Tennis, Marathon (Underwater People, 2010)
Papaye, Tennis (Kythibong, 2013)
Indian Wells, Night Drops (Bad Panda Records, 2012)
Housse de Racket, Oh Yeah (Discograph, 2008)


Bonus :
Chris Rea, Tennis (Magnet, 1980)

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